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COMMUNIQUÉ

Molson Coors Beverage Company présente ses résultats pour le troisième trimestre de 2022

Molson Coors affiche une croissance du chiffre d’affaires en devises constantes pour le sixième trimestre consécutif

 

La Société continue de réaliser des progrès dans le cadre de son plan de revitalisation tout en faisant face aux pressions inflationnistes mondiales

 

La Société réaffirme ses indications en matière de croissance du chiffre d’affaires et du résultat net pour l’exercice 2022
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Golden, Colorado, et Montréal, Québec – le 1er novembre 2022 – Molson Coors Beverage Company (« MCBC ») (NYSE : TAP, TAP.A; TSX : TPX.A, TPX.B) a annoncé aujourd’hui ses résultats pour le troisième trimestre de 2022.

FAITS SAILLANTS FINANCIERS DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2022

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 4,0 pour cent sur la base des résultats déclarés, et de 7,9 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes.
  • Chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base des volumes liés aux marques en hausse de 9,2 pour cent en devises constantes, résultat qui s’explique essentiellement par l’établissement de prix nets positifs et par la composition favorable des ventes attribuable à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure.
  • Bénéfice avant impôt, selon les PCGR des États-Unis, de 273,0 millions de dollars, soit une diminution de 43,2 pour cent sur la base des résultats déclarés et de 38,8 pour cent en devises constantes.
  • Bénéfice avant impôt sous-jacent (mesure non conforme aux PCGR) de 364,6 millions de dollars, soit une diminution de 5,0 pour cent, mais une augmentation de 0,5 pour cent en devises constantes.
  • Bénéfice net attribuable à MCBC, selon les PCGR des États-Unis, de 216,4 millions de dollars, soit 0,99 dollar par action sur une base diluée. Bénéfice par action dilué (mesure non conforme aux PCGR) de 1,32 dollar, en baisse de 0,43 dollar par action.
 

POINTS DE VUE DU CHEF DE LA DIRECTION ET DE LA CHEF DE LA DIRECTION FINANCIÈRE

Au troisième trimestre de 2022, Molson Coors a enregistré un autre trimestre de croissance du chiffre d’affaires et du résultat net sous-jacent en devises constantes, stimulée par la vigueur des prix nets établis à l’échelle mondiale et par la composition favorable attribuable à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, tout en faisant face à un contexte inflationniste mondial difficile. Notre chiffre d’affaires se reflète dans notre part de l’industrie sur les principaux marchés de la Société à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, Molson Coors a enregistré la deuxième plus importante augmentation de part en dollars de toute l’industrie brassicole. La Société a également augmenté sa quote-part au Royaume-Uni.

Molson Coors continue de réaliser des progrès à l’égard de son plan de revitalisation. Aux États-Unis, les marques principales de la Société ont continué de s’affermir au troisième trimestre. En effet, la performance combinée de la Coors Light, de la Miller Lite et de la Coors Banquet a fait croître d’un point de pourcentage notre quote-part totale dans la catégorie des bières supérieures, et la Miller Lite et la Coors Banquet nous ont permis d’augmenter nos volumes liés aux marques. Au Royaume-Uni, l’avance à titre de première bière au pays de la Carling s’est accentuée, et au Canada, la Molson Canadian a continué de faire croître le chiffre d’affaires net. En outre, le portefeuille mondial de Molson Coors continue de bénéficier de la transformation en faveur des marques de qualité supérieure. Aux États-Unis, la Simply Spiked Lemonade a été, au troisième trimestre, la nouvelle boisson alcoolisée aromatisée enregistrant la plus forte croissance au pays. Au Royaume-Uni, la Madri est rapidement devenue la marque numéro trois de Molson Coors sur le marché.

Déclaration de M. Gavin Hattersley, président et chef de la direction :

« Nous sommes fiers du chiffre d’affaires que nous présentons ce trimestre. Notre chiffre d’affaires net a augmenté pour un sixième trimestre consécutif, et au cours du troisième trimestre de l’exercice considéré, notre chiffre d’affaires net à l’échelle mondiale a surpassé les niveaux de 2019 en devises constantes. De plus, notre capacité à générer une croissance soutenue du chiffre d’affaires s’est traduite par une solide quote-part de l’industrie dans chacun de nos marchés clés à l’échelle mondiale. Grâce à la vigueur de notre portefeuille et à notre plan de revitalisation, nous avons fait d’importants progrès en ce qui a trait à la transformation de nos activités et nous sommes d’avis que nous sommes bien positionnés pour l’avenir. »

 

 

Déclaration de Mme Tracey Joubert, chef de la direction financière :

« Nous avons enregistré un autre trimestre de croissance de notre chiffre d’affaires et du résultat net sous-jacent en devises constantes, tout en continuant d’investir dans nos activités, de réduire la dette nette et de générer un rendement en trésorerie pour les actionnaires. Bien que nous soyons fiers de notre capacité à affronter les pressions inflationnistes mondiales, celles-ci continuent de poser un défi. Nous réaffirmons donc nos principales prévisions financières pour 2022, mais nous nous attendons à ce que la croissance du bénéfice sous-jacent avant impôt en devises constantes se situe dans la partie inférieure de notre fourchette visant une hausse à un chiffre élevée. Nous réitérons notre engagement à continuer d’investir dans les activités et à maintenir le cap pour atteindre notre objectif de croissance à long terme et durable du chiffre d’affaires et du résultat net. »

 

 

PRINCIPAUX RÉSULTATS TRIMESTRIELS CONSOLIDÉS (PAR RAPPORT AUX RÉSULTATS DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2021)

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 4,0 pour cent sur la base des résultats déclarés, et en hausse de 7,9 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs ainsi que de la composition favorable des ventes découlant de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure. Les volumes financiers ont diminué de 0,2 pour cent, principalement en raison de la baisse des volumes liés aux marques dans le secteur Amériques, facteur contrebalancé en partie par la hausse des volumes financiers au sein de notre secteur EMOAAP attribuable à la hausse des volumes liés aux marques en Europe occidentale. Les volumes liés aux marques ont diminué de 2,0 pour cent, principalement en raison d’une baisse de 1,5 pour cent dans le secteur Amériques attribuable à la performance de l’industrie plus modérée et aux répercussions continues de la grève des travailleurs au Québec, ainsi que d’une baisse de 3,1 pour cent dans le secteur EMOAAP, qui s’explique par l’incidence sur les marchés du conflit entre la Russie et l’Ukraine et sur les consommateurs des pressions inflationnistes dans les pays d’Europe centrale et orientale, facteurs en partie contrebalancés par la croissance en Europe occidentale.

Chiffre d’affaires net par hectolitre en devises constantes sur la base des volumes liés aux marques en hausse de 9,2 pour cent, résultat qui s’explique essentiellement par l’établissement de prix nets positifs et par la composition favorable des ventes attribuable à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure.

  • Coût des produits vendus par hectolitre : en hausse de 20,0 pour cent sur la base des résultats déclarés, surtout en raison d’une augmentation de 192,6 millions de dollars découlant des variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises, de la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie et de l’incidence sur la composition des marques de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, facteurs neutralisés en partie par l’incidence favorable des variations du change et la réduction de la dotation aux amortissements. Coût des produits vendus par hectolitre sous-jacent : en hausse de 12,0 pour cent en devises constantes, résultat qui tient essentiellement à la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie et à l’incidence sur la composition des marques de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, facteurs neutralisés en partie par la réduction de la dotation aux amortissements.
  • Frais de commercialisation, généraux et d’administration : en baisse de 0,7 pour cent sur la base des résultats déclarés, essentiellement en raison de la prise en compte de frais de commercialisation plus élevés à l’exercice précédent et des variations favorables du change, facteurs contrebalancés en partie par la prise en compte de coûts liés au personnel moins élevés à l’exercice précédent, la hausse des frais juridiques et la prise en compte du bénéfice tiré de la participation dans la coentreprise The Yuengling Company, laquelle a amorcé ses activités de distribution au Texas à l’exercice précédent. Frais de commercialisation, généraux et d’administration sous-jacents : en hausse de 3,5 pour cent en devises constantes.
  • Bénéfice (perte) avant impôt selon les PCGR des États-Unis : en baisse de 43,2 pour cent sur la base des résultats déclarés, principalement en raison des variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises, de la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie et de l’incidence défavorable des variations du change, facteurs contrebalancés en partie par l’établissement de prix nets positifs, la réduction de la dotation aux amortissements et la composition favorable des ventes.
  • Bénéfice (perte) avant impôt sous-jacent : en hausse de 0,5 pour cent en devises constantes, en raison essentiellement de l’établissement de prix nets positifs, de la réduction de la dotation aux amortissements et de la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie et l’augmentation des frais de commercialisation, généraux et d’administration.

PRINCIPAUX RÉSULTATS TRIMESTRIELS DES SECTEURS D’EXPLOITATION (PAR RAPPORT AUX RÉSULTATS DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2021)

Secteur Amériques

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 6,8 pour cent sur la base des résultats déclarés, et de 7,4 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par une baisse des volumes financiers. Les volumes financiers ont diminué de 1,0 pour cent, surtout en raison d’une diminution des livraisons au Canada, ce qui comprend les répercussions continues de la grève des travailleurs au Québec, facteur contrebalancé en partie par une hausse de 1,4 pour cent des livraisons aux États-Unis. Les volumes liés aux marques ont diminué de 1,5 pour cent, en raison essentiellement d’une baisse de 8,6 pour cent au Canada attribuable à la performance de l’industrie plus modérée et aux répercussions continues de la grève des travailleurs au Québec et d’une baisse de 0,9 pour cent aux États-Unis attribuable à la performance de l’industrie plus modérée, facteurs partiellement neutralisés par une croissance de 3,5 pour cent en Amérique latine, qui découle de la croissance au Mexique.

Le chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base des volumes liés aux marques en devises constantes a augmenté de 7,5 pour cent dans le secteur Amériques, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes.

  • Bénéfice (perte) avant impôt selon les PCGR des États-Unis : en hausse de 9,1 pour cent sur la base des résultats déclarés, principalement en raison de l’établissement de prix nets positifs, de la réduction de la dotation aux amortissements, de la composition favorable des ventes et de la baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, l’incidence défavorable des variations du change et la baisse des volumes financiers. La baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration s’explique essentiellement par la prise en compte de frais de commercialisation plus élevés à l’exercice précédent, neutralisés en partie par la prise en compte de coûts liés au personnel moins élevés à l’exercice précédent, la hausse des frais juridiques et la prise en compte du bénéfice tiré de la participation dans la coentreprise The Yuengling Company, laquelle a amorcé ses activités de distribution au Texas à l’exercice précédent.
  • Bénéfice (perte) avant impôt sous-jacent : en hausse de 10,5 pour cent en devises constantes, en raison essentiellement de l’établissement de prix nets positifs, de la réduction de la dotation aux amortissements, de la composition favorable des ventes et de la baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie et la baisse des volumes financiers.

Secteur EMOAAP

  • Chiffre d’affaires net : en baisse de 6,4 pour cent sur la base des résultats déclarés, et en hausse de 9,6 pour cent en devises constantes, en raison principalement de la hausse des volumes financiers, de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes. Les volumes financiers ont augmenté de 2,0 pour cent, principalement en raison de la hausse des volumes liés aux marques et des volumes liés aux marques distribuées en Europe occidentale, compensée en partie par l’incidence sur les consommateurs des pressions inflationnistes dans les pays d’Europe centrale et orientale. Les volumes liés aux marques ont diminué de 3,1 pour cent, principalement en raison des baisses de volumes découlant du conflit entre la Russie et l’Ukraine et de l’incidence sur les consommateurs des pressions inflationnistes dans les pays d’Europe centrale et orientale, facteurs contrebalancés en partie par une augmentation des volumes liés aux marques en Europe occidentale.

Le chiffre d’affaires net par hectolitre en devises constantes sur la base des volumes liés aux marques a augmenté de 14,3 pour cent, résultat qui tient essentiellement à l’établissement de prix nets positifs et à la composition favorable des ventes.

  • Bénéfice (perte) avant impôt selon les PCGR des États-Unis : en baisse de 49,4 pour cent sur la base des résultats déclarés, en raison essentiellement de la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, de l’augmentation des frais de commercialisation, généraux et d’administration et des variations défavorables du change, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des volumes financiers, l’établissement de prix nets positifs et la composition favorable des ventes. L’augmentation des frais de commercialisation, généraux et d’administration est en grande partie imputable à la prise en compte des dépenses moins importantes engagées à l’exercice précédent en raison des mesures d’atténuation des coûts mises en place en raison de la pandémie et à l’accroissement des frais de commercialisation afin de soutenir nos marques et notre stratégie de transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure.
  • Bénéfice (perte) avant impôt sous-jacent : en baisse de 38,9 pour cent en devises constantes, surtout en raison de la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie et de l’augmentation des frais de commercialisation, généraux et d’administration, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des volumes financiers, l’établissement de prix nets positifs et la composition favorable des ventes.

FAITS SAILLANTS LIÉS AUX FLUX DE TRÉSORERIE ET À LA TRÉSORERIE

  • Flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, selon les PCGR des États-Unis : les flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation se sont établis à 1 117,5 millions de dollars pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2022, comparativement à 1 267,7 millions de dollars à l’exercice précédent. La diminution des flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation tient principalement à la baisse du bénéfice net ajusté pour tenir compte des éléments sans effet sur la trésorerie et au calendrier défavorable du fonds de roulement, facteurs contrebalancés en partie par les remboursements nets, à l’exercice précédent, au titre de divers programmes de report de paiements d’impôt mis en place en raison de la pandémie de coronavirus, la baisse des paiements au titre de la rémunération incitative et la baisse de l’impôt payé.
  • Flux de trésorerie disponibles sous-jacents : entrées de trésorerie de 597,4 millions de dollars pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2022, comparativement à des entrées de trésorerie de 933,0 millions de dollars à l’exercice précédent. La diminution des entrées de trésorerie tient principalement à la hausse des dépenses d’investissement, à la baisse du bénéfice net ajusté pour tenir compte des éléments sans effet sur la trésorerie et au calendrier défavorable du fonds de roulement, facteurs contrebalancés en partie par les remboursements nets, à l’exercice précédent, au titre de divers programmes de report de paiements d’impôt mis en place en raison de la pandémie de coronavirus, la baisse des paiements au titre de la rémunération incitative et la baisse de l’impôt payé.
  • Dette : le total de la dette à la fin du troisième trimestre de 2022 s’élevait à 6 587,7 millions de dollars, et la trésorerie et les équivalents de trésorerie totalisaient 525,2 millions de dollars, ce qui se traduit par une dette nette de 6 062,5 millions de dollars ainsi que par un ratio de la dette nette par rapport au BAIIA sous-jacent de 3,13 fois. Au 30 septembre 2021, notre ratio de la dette nette par rapport au BAIIA sous-jacent était de 3,31 fois.
  • Dividendes : le 14 juillet 2022, notre conseil d’administration a déclaré un dividende en trésorerie de 0,38 dollar par action, lequel a été versé le 15 septembre 2022 aux détenteurs d’actions ordinaires de catégorie A et de catégorie B à la date de clôture des registres le 2 septembre 2022. Les détenteurs d’actions échangeables ont reçu l’équivalent en dollars canadiens des dividendes déclarés sur les actions ordinaires de catégorie A et de catégorie B, soit 0,49 dollar canadien par action. Pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2022, la Société a déclaré et versé des dividendes en trésorerie totaux de 1,14 dollar par action, l’équivalent en dollars canadiens totalisant 1,45 dollar canadien par action.
  • Programme de rachat d’actions : le 17 février 2022, le conseil d’administration de notre Société a approuvé un programme de rachat d’actions en vertu duquel il autorise la Société à racheter, jusqu’au 31 mars 2026, des actions ordinaires de catégorie B de la Société à hauteur de 200 millions de dollars, dans le but principal de compenser les attributions annuelles de titres de participation aux employés. Au cours de la période de neuf mois close le 30 septembre 2022, nous avons racheté 740 000 actions en vertu du programme de rachat d’actions à un prix moyen pondéré de 52,36 dollars par action, y compris les commissions de courtage, pour un montant total de 38,8 millions de dollars.

AUTRES RÉSULTATS

  • L’augmentation du taux d’imposition effectif selon les PCGR des États-Unis au troisième trimestre tient principalement à une augmentation de la charge d’impôt nette non récurrente et à la baisse du bénéfice avant impôt. Nous avons comptabilisé une charge d’impôt non récurrente de 6 millions de dollars au troisième trimestre de 2022 et une économie d’impôt non récurrente de 52 millions de dollars au troisième trimestre de 2021. L’économie d’impôt non récurrente comptabilisée au troisième trimestre de 2021 est principalement attribuable à une économie d’impôt de 68 millions de dollars, ce qui comprend une économie d’impôt non récurrente de 49 millions de dollars comptabilisée en raison de la reprise de certaines positions fiscales non comptabilisées, par suite du règlement effectif conclu relativement à un contrôle fiscal.
  • L’augmentation du taux d’imposition effectif sous-jacent au troisième trimestre tient principalement à une augmentation de la charge d’impôt nette non récurrente et à la baisse du bénéfice avant impôt. Nous avons comptabilisé une charge d’impôt non récurrente de 1 million de dollars au troisième trimestre de 2022, contre une économie d’impôt non récurrente de 54 millions de dollars au troisième trimestre de 2021, ce qui s’explique surtout par la reprise de certaines positions fiscales non comptabilisées, par suite du règlement effectif conclu relativement à un contrôle fiscal.

Éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base

Les éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base suivants ont été exclus des résultats sous-jacents. Se reporter à l’Annexe présentée dans la version anglaise de ce communiqué pour le rapprochement des mesures financières non conformes aux PCGR.

  • Au cours du troisième trimestre de 2022, nous avons comptabilisé des économies nettes de 5,3 millions de dollars au titre des éléments inhabituels, qui se composent principalement d’un profit de 4,9 millions de dollars à la vente d’un immeuble au Royaume-Uni.
  • De plus, au cours du troisième trimestre de 2022, nous avons comptabilisé des charges nettes de 96,9 millions de dollars au titre des autres éléments non liés aux activités de base, qui tiennent surtout aux variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises.

PERSPECTIVES POUR 2022

Nous nous attendons toujours à atteindre les objectifs financiers clés suivants pour l’ensemble de l’exercice 2022. Toutefois, les incertitudes liées à l’environnement macroéconomique, notamment l’inflation importante continue, la baisse de la demande en Europe centrale et orientale et l’appréciation constante du dollar américain, pourraient avoir une incidence sur notre performance financière.

  • Chiffre d’affaires net : hausse à un chiffre moyenne en devises constantes, par rapport à l’exercice 2021.
  • Bénéfice sous-jacent (perte sous-jacente) avant impôt : hausse à un chiffre élevée en devises constantes par rapport à l’exercice 2021. En raison de l’accentuation des pressions inflationnistes et de la baisse de la demande en Europe centrale et orientale, nous nous attendons à ce que le bénéfice sous-jacent (la perte sous-jacente) se situe dans la partie inférieure de la fourchette.
  • Effet de levier négatif : nous nous attendons à un ratio de la dette nette par rapport au BAIIA sous-jacent inférieur à 3,0 fois d’ici la fin de 2022.
  • Flux de trésorerie disponibles sous-jacents : 1,0 milliard de dollars, plus ou moins 10 pour cent.
  • Charges d’intérêts nettes consolidées : environ 265 millions de dollars, plus ou moins 5 pour cent.

Les objectifs suivants pour l’ensemble de l’exercice 2022 ont été révisés :

  • Dotation aux amortissements sous-jacente : environ 700 millions de dollars, plus ou moins 5 pour cent, par rapport à la précédente prévision qui était de 750 millions de dollars, plus ou moins 5 pour cent.
  • Taux d’imposition effectif sous-jacent : fourchette de 21 à 22 pour cent pour l’exercice 2022, par rapport à la précédente prévision qui était de 22 à 24 pour cent.

NOTES

Sauf indication contraire dans ce communiqué, tous les montants sont libellés en dollars américains, et tous les résultats trimestriels comparatifs sont ceux du troisième trimestre clos le 30 septembre 2022 par rapport à ceux du troisième trimestre clos le 30 septembre 2021. Certains chiffres pourraient ne pas correspondre aux totaux en raison de leur arrondissement.

RENSEIGNEMENTS

Relations avec les investisseurs                               Médias

Greg Tierney, 414 931-3303                                                             Rachel Dickens, 314 452-9673

Traci Mangini, 415 308-0151

CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE PORTANT SUR LES RÉSULTATS DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2022

Molson Coors Beverage Company tiendra une conférence téléphonique à l’intention des analystes financiers et des investisseurs aujourd’hui à 11 h, heure de l’Est, afin de discuter de ses résultats du troisième trimestre de 2022. La diffusion Web sera accessible sur notre site Web, à l’adresse ir.molsoncoors.com. La rediffusion en ligne sera offerte jusqu’à 23 h 59, heure de l’Est, le 20 février 2023. La Société affichera aujourd’hui le présent communiqué et les états financiers connexes sur son site Web.

À PROPOS DE MOLSON COORS BEVERAGE COMPANY

Depuis plus de deux siècles, Molson Coors Beverage Company brasse des bières qui unissent les gens, quel que soit le moment. Peu importe qu’il s’agisse de la Coors Light, de la Miller Lite, de la Molson Canadian, de la Carling, de la Staropramen ou de la Coors Banquet, ou encore de la Blue Moon Belgian White, de la Blue Moon LightSky, de la Vizzy, de la Coors Seltzer, de la Leinenkugel’s Summer Shandy, de la Creemore Springs, de la Hop Valley ou d’autres marques, Molson Coors produit plusieurs marques de bières parmi les plus aimées et emblématiques. Bien que l’histoire de la Société soit enracinée dans le brassage de bières, Molson Coors propose un portefeuille moderne de produits qui s’étend au-delà du marché brassicole.

Nos secteurs à présenter comprennent le secteur Amériques, dont les activités sont situées aux Caraïbes, aux États-Unis, au Canada et dans divers pays de l’Amérique latine et de l’Amérique du Sud, ainsi que le secteur EMOAAP, dont les activités sont situées en Bulgarie, en Croatie, en République tchèque, en Hongrie, au Monténégro, en République d’Irlande, en Roumanie, en Serbie, au Royaume-Uni et dans divers autres pays européens, ainsi que dans certains pays du Moyen-Orient, de l’Afrique et de l’Asie-Pacifique. En plus de nos secteurs à présenter, nous présentons certains éléments qui ne sont pas attribués à ces secteurs, et qui sont désignés comme activités « non attribuées »; ces éléments comprennent principalement les coûts liés aux activités de financement et l’incidence des autres activités liées à la trésorerie. Notre stratégie visant les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (« ESG ») est axée sur les gens et la planète et elle reflète l’engagement de la Société à améliorer les normes au sein de l’industrie et à laisser une empreinte positive sur ses employés, ses consommateurs, ses collectivités et l’environnement. Pour de plus amples renseignements sur Molson Coors Beverage Company, visitez le site Web de la Société à l’adresse molsoncoors.com ou MolsonCoorsOurImprint.com, ou encore à l’adresse @MolsonCoors sur Twitter.

À PROPOS DE MOLSON COORS CANADA INC.

Molson Coors Canada Inc. (« MCCI ») est une filiale de Molson Coors Beverage Company. Les actions échangeables de catégorie A et de catégorie B de MCCI sont assorties en grande partie des mêmes droits économiques et de vote que les catégories d’actions ordinaires respectives de MCBC, comme il est décrit dans la circulaire de sollicitation de procurations annuelle de MCBC et dans le rapport sur formulaire 10-K déposés auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis. Le porteur fiduciaire de l’action spéciale comportant droit de vote de catégorie A et de l’action spéciale comportant droit de vote de catégorie B a le droit d’exprimer un nombre de voix correspondant au nombre d’actions échangeables de catégorie A et d’actions échangeables de catégorie B alors en circulation, respectivement.

DÉCLARATIONS PROSPECTIVES

Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » au sens des lois fédérales sur les valeurs mobilières aux États-Unis. En règle générale, des termes comme « prévoir », « avoir l’intention de », « objectifs », « plans », « croire », « continuer », « pouvoir », « s’attendre à », « chercher à », « estimer », « perspectives », « tendances », « avantages futurs », « potentiel », « projeter », « stratégies » et des variations de ces expressions et d’autres expressions similaires, ainsi que l’utilisation du futur et du conditionnel, désignent des déclarations prospectives. Les déclarations qui ont trait aux projections visant notre performance financière future, notre croissance prévue et les tendances liées à nos activités, ainsi que les autres descriptions se rapportant à des événements ou circonstances futurs constituent des déclarations prospectives et comprennent, sans s’y limiter, les déclarations présentées à la rubrique « Perspectives pour 2022 » à l’égard des attentes relatives à l’incidence de la pandémie de coronavirus sur nos activités, sur notre situation de trésorerie, sur notre situation financière et sur nos résultats financiers, les attentes relatives aux dividendes futurs, les tendances générales concernant les volumes, les préférences des consommateurs, les tendances en matière de prix, les forces de l’industrie, nos stratégies de réduction des coûts, y compris notre plan de revitalisation, les attentes relatives à l’inflation, les résultats prévus, les attentes concernant le financement de nos dépenses d’investissement et de nos activités futures, les capacités en matière de service de la dette, le montant et l’échelonnement de la dette et les niveaux de levier financier, les volumes de livraison et la rentabilité, la part de marché et l’adéquation des sources de financement. Bien que la Société soit d’avis que les hypothèses sur lesquelles ces déclarations prospectives sont fondées sont raisonnables, elle ne peut garantir d’aucune façon leur exactitude. Certains facteurs importants qui pourraient faire en sorte que les résultats réels de la Société diffèrent de façon significative de l’expérience historique et des prévisions et attentes de la Société sont présentés dans les documents de la Société déposés auprès de la Securities and Exchange Commission (la « SEC »). Ces facteurs comprennent notamment l’incidence de la pandémie de coronavirus; l’incidence de l’intensification de la concurrence découlant des regroupements de brasseries; la concurrence au chapitre des prix et les pressions sur les prix; la santé de l’industrie brassicole et de nos marques dans nos marchés; les conditions économiques dans nos marchés; notre capacité à maintenir l’image de nos marques, notre réputation et la qualité de nos produits; les questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG); l’incidence des changements climatiques ainsi que la disponibilité et la qualité de l’eau; la perte ou la fermeture d’une brasserie principale ou d’une autre installation clé; notre capacité à maintenir de bonnes relations de travail; les grèves, les arrêts de travail ou d’autres difficultés liées à la main-d’œuvre; notre dépendance à l’égard de tiers fournisseurs de services ainsi que des systèmes internes et des systèmes externalisés; une intrusion dans nos systèmes informatiques; le rendement des placements dans les régimes de retraite et les coûts liés aux régimes de retraite; le non-respect des clauses restrictives ou la détérioration de nos notations de crédit; la hausse du coût des marchandises que nous utilisons dans le cadre de nos activités; notre dépendance à l’égard de la chaîne d’approvisionnement mondiale et l’incidence des contraintes liées à la chaîne d’approvisionnement et des pressions inflationnistes, y compris l’incidence défavorable du conflit entre l’Ukraine et la Russie; les pertes de valeur additionnelles; les estimations et les hypothèses sur lesquelles nos projections financières sont fondées, qui pourraient s’avérer inexactes; notre capacité à mettre en œuvre nos initiatives stratégiques, y compris la mise en œuvre et la réalisation des réductions de coûts; la disponibilité des matériaux d’emballage ou la hausse du coût de ces matériaux; l’issue défavorable de questions juridiques ou réglementaires se répercutant sur nos activités; les risques liés à nos activités dans les marchés en développement et les marchés émergents; les modifications apportées aux exigences prévues par la loi et par les règlements, y compris la réglementation des systèmes de distribution; les fluctuations des taux de change; le succès de nos coentreprises et les autres risques dont il est fait état dans nos documents déposés auprès de la SEC, y compris notre plus récent rapport annuel sur formulaire 10-K et nos rapports trimestriels sur formulaire 10-Q. Toutes les déclarations prospectives que contient le présent communiqué de presse sont présentées expressément sous réserve des présentes mises en garde et par renvoi aux hypothèses sous-jacentes. Le lecteur ne doit pas se fier indûment aux déclarations prospectives, qui ne valent que pour la date à laquelle elles sont faites. La Société ne s’engage pas à publier une mise à jour des déclarations prospectives, que ce soit par suite d’informations nouvelles ou d’événements subséquents, ou autrement, sauf dans les cas exigés par la loi.

DONNÉES DU MARCHÉ ET DE L’INDUSTRIE

Les données du marché et de l’industrie utilisées dans le présent communiqué de presse, le cas échéant, sont basées sur des publications indépendantes de l’industrie, les données spécifiques aux clients et les données d’associations corporatives ou d’associations d’entreprises, les rapports de spécialistes en recherche commerciale et d’autres informations statistiques publiées par des tiers, y compris Information Resources, Inc. pour les données concernant le marché américain et Beer Canada pour les données concernant le marché canadien (collectivement l’« information obtenue de tierces parties »); ces données sont également basées sur des informations reposant sur des estimations effectuées de bonne foi par la direction, lesquelles découlent de notre examen d’informations internes et de sources indépendantes. Cette information obtenue de tierces parties affirme généralement reposer elle-même sur des sources considérées comme étant fiables.

 

Le volume lié aux marques à l’échelle mondiale (ou le « volume lié aux marques » lorsqu’il est question d’un secteur) reflète les marques détenues ou activement gérées par la Société qui sont vendues à des clients externes non liés dans nos marchés géographiques (déduction faite des retours et rabais), le volume lié aux redevances et notre quote-part du volume lié aux marques à l’échelle mondiale mis en équivalence, lequel est calculé en fonction du volume lié aux marques détenues par MCBC. Le volume financier représente les marques détenues par la Société qui sont vendues à des clients externes non liés dans nos marchés géographiques, déduction faite des retours et rabais, ainsi que le volume lié aux ententes de brassage et le volume de gros lié aux marques non détenues par la Société et le volume de distribution lié aux marques détenues par la Société. Le volume lié aux ententes de brassage et aux grossistes/marques distribuées est pris en compte dans le volume financier, mais il est exclu du volume lié aux marques à l’échelle mondiale, car il représente un volume lié aux marques non détenues relativement auquel nous n’exerçons pas un contrôle direct sur la performance. Le volume lié aux marques distribuées au sein de notre secteur EMOAAP se rapporte à la distribution de bières, vins, spiritueux et autres produits détenus et produits par d’autres sociétés à des établissements de consommation sur place, et les ententes de ce genre sont répandues au Royaume-Uni. Le volume lié aux redevances se compose de nos marques produites et vendues par des tiers en vertu de diverses ententes de ventes sous licence et ententes de brassage; étant donné que ce volume se compose de marques détenues par la Société, il est compris dans le volume lié aux marques à l’échelle mondiale. Notre définition du volume lié aux marques à l’échelle mondiale reflète également un ajustement afin de tenir compte du volume des ventes aux détaillants, plutôt que du volume des ventes aux grossistes. Nous sommes d’avis que la mesure du volume lié aux marques est importante puisque, contrairement au volume financier et aux ventes aux grossistes, elle fournit la meilleure indication de la performance de nos marques par rapport aux tendances au chapitre des ventes dans le marché et des ventes effectuées par la concurrence.

Conformément à la stratégie entourant le plan de revitalisation, qui est d’accroître notre portefeuille de marques de qualité supérieure et d’élargir nos activités au-delà du marché de la bière, nous accordons une moins grande importance aux unités de gestion des stocks des marques de bière à prix modiques et les avons rationalisées. Cette stratégie vise à stimuler la croissance du chiffre d’affaires net et des bénéfices, malgré les baisses de volumes éventuelles pouvant découler des changements de la composition du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure.

UTILISATION DE MESURES NON CONFORMES AUX PCGR

Outre les mesures financières présentées conformément aux principes comptables généralement reconnus des États-Unis (les « PCGR des États-Unis »), nous utilisons également des mesures financières non conformes aux PCGR, dont la liste et les définitions sont présentées ci-dessous, pour prendre les décisions opérationnelles et financières et pour évaluer la performance de la Société et des secteurs. Ces mesures non conformes aux PCGR devraient être considérées comme des suppléments à nos résultats d’exploitation présentés selon les PCGR des États-Unis (et non comme des mesures de remplacement de ceux-ci). Nous avons fourni des rapprochements de toutes les mesures historiques non conformes aux PCGR et des mesures les plus pertinentes des PCGR des États-Unis, et nous avons appliqué systématiquement les ajustements à nos rapprochements afin de déterminer chaque mesure non conforme aux PCGR.

Notre direction utilise ces mesures pour ramener sur une base plus comparable les résultats financiers d’une période à l’autre; comme des mesures pour la planification et les prévisions générales ainsi que pour l’évaluation des résultats réels par rapport aux prévisions; dans les communications avec le conseil d’administration, les actionnaires, les analystes ainsi que les investisseurs au sujet de notre performance financière; comme des mesures de comparaison utiles par rapport à la performance de nos concurrents; comme des mesures aux fins de certains calculs de la rémunération incitative de la direction. Nous croyons que ces mesures sont utiles pour les investisseurs et qu’elles sont utilisées par ceux-ci ainsi que par d’autres utilisateurs de nos états financiers dans l’évaluation de notre performance d’exploitation.

  • Bénéfice sous-jacent (perte sous-jacente) avant impôt (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : bénéfice (perte) avant impôt) – Mesure du bénéfice (de la perte) de la Société avant impôt excluant l’incidence des éléments inhabituels figurant dans nos états financiers préparés selon les PCGR des États-Unis et des éléments non liés aux activités de base avant impôt. Ces éléments non liés aux activités de base avant impôt, auxquels on fait référence dans les définitions présentées ci-dessous, comprennent les coûts liés à l’intégration, les profits et pertes latents évalués à la valeur de marché, les pertes potentielles ou subies liées à certains litiges et règlements et les profits et pertes découlant de la vente d’actifs hors exploitation, entre autres. Ils sont compris dans nos résultats selon les PCGR des États-Unis et doivent faire l’objet d’ajustements aux fins du calcul des résultats non calculés selon les PCGR. Nous considérons que ces ajustements sont nécessaires pour évaluer notre rendement continu, et ces ajustements sont dans bien des cas considérés comme non récurrents. Ces ajustements sont subjectifs, et la direction fait preuve d’un jugement important à leur égard.
  • Coût des produits vendus sous-jacent (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : coût des produits vendus) – Mesure du coût des produits vendus de la Société ajusté pour en exclure tous les éléments non liés aux activités de base (tels qu’ils sont définis ci-dessus) qui ont une incidence sur le coût des produits vendus présenté selon les PCGR. Ces éléments non liés aux activités de base comprennent l’incidence des profits et des pertes latents à la valeur de marché sur nos instruments dérivés qui sont des couvertures économiques et sont comptabilisés au poste Coût des produits vendus dans les éléments non attribués. Lorsque l’exposition que nous gérons est réalisée, nous reclassons le profit ou la perte au secteur auquel l’exposition sous-jacente se rapporte, ce qui permet à nos secteurs de réaliser les effets économiques des dérivés sans la volatilité de la valeur de marché latente en résultant.
  • Frais de commercialisation, généraux et d’administration sous-jacents (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : frais de commercialisation, généraux et d’administration) – Mesure des frais de commercialisation, généraux et d’administration de la Société excluant l’incidence de certains éléments non liés aux activités de base (tels qu’ils sont définis ci-dessus).
  • Bénéfice net sous-jacent (perte nette sous-jacente) attribuable à MCBC (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : bénéfice net (perte nette) attribuable à MCBC) – Mesure du bénéfice net (de la perte nette) attribuable à MCBC excluant l’incidence des éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base (tels qu’ils sont définis ci-dessus), l’incidence fiscale connexe des éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base et certains autres éléments fiscaux non récurrents et non liés aux activités de base.
  • Bénéfice net sous-jacent (perte nette sous-jacente) par action sur une base diluée attribuable à MCBC (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : bénéfice net (perte nette) par action sur une base diluée attribuable à MCBC) – Mesure du bénéfice net (de la perte nette) attribuable à MCBC sous-jacent, tel qu’il est défini ci-dessus, par action sur une base diluée.
  • Taux d’imposition effectif sous-jacent (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : taux d’imposition effectif) – Mesure du taux d’imposition effectif de la Société excluant l’incidence fiscale connexe des éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base et certains autres éléments fiscaux non récurrents et non liés aux activités de base. Les éléments fiscaux non récurrents et non liés aux activités de base comprennent les ajustements importants au titre de contrôles fiscaux et de la provision de l’exercice précédent, l’incidence des changements importants à la législation fiscale et aux taux d’imposition et des éléments importants non récurrents et propres à la période.
  • Flux de trésorerie disponibles sous-jacents (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : flux de trésorerie nets provenant des (affectés aux) activités d’exploitation) – Mesure des flux de trésorerie d’exploitation de la Société calculés comme les flux de trésorerie nets provenant des (affectés aux) activités d’exploitation déduction faite des entrées d’immobilisations et excluant l’incidence avant impôt de certains éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base (tels qu’ils sont définis ci-dessus) sur les flux de trésorerie. Nous considérons que les flux de trésorerie disponibles sous- jacents constituent une mesure importante de notre capacité à générer des flux de trésorerie, à accroître nos activités et à accroître la valeur pour les actionnaires, laquelle est stimulée par nos activités de base, compte tenu des ajustements relatifs aux éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base, qui peuvent varier de manière importante d’une société à l’autre selon les méthodes comptables, la juste valeur des actifs et la structure de capital.
  • Dotation aux amortissements sous-jacente (mesure conforme aux PCGR la plus comparable : dotation aux amortissements) – Mesure de la dotation aux amortissements de la Société excluant l’incidence de certains éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base (tels qu’ils sont définis ci-dessus). Ces ajustements se rapportent essentiellement à l’amortissement accéléré lié aux activités de sortie ou de restructuration stratégiques de la Société.
  • Ratio de la dette nette par rapport au bénéfice avant intérêts, impôt et amortissements sous-jacent (« BAIIA sous-jacent ») (mesures conformes aux PCGR les plus comparables : trésorerie, dette et bénéfice (perte) avant impôt) – Mesure du levier financier de la Société calculé comme étant la dette nette (définie comme la tranche courante de la dette à long terme et les emprunts à court terme, auxquels on ajoute la dette à long terme déduction faite de la trésorerie et des équivalents de trésorerie) divisée par le BAIIA sous-jacent des douze derniers mois. Le BAIIA sous-jacent correspond au bénéfice net (à la perte nette) excluant les charges (les produits) d’intérêts, la charge (l’économie) d’impôt, les amortissements et l’incidence de certains éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base (tels qu’ils sont définis ci-dessus). Cette mesure ne correspond pas au ratio d’endettement maximal de la Société en vertu de sa facilité de crédit renouvelable, qui permet d’apporter d’autres ajustements dans le calcul du ratio de la dette nette par rapport au BAIIA.
  • Devises constantes – Les devises constantes sont une mesure non conforme aux PCGR servant à évaluer le rendement, compte non tenu de l’incidence des fluctuations découlant de la conversion des devises et de certaines transactions en devises, et elles visent à être représentatives des résultats en monnaie locale. Étant donné que nous exerçons nos activités dans divers pays étrangers dont la monnaie locale peut s’apprécier ou se déprécier considérablement par rapport au dollar américain ou aux autres devises liées à nos activités d’exploitation, nous utilisons des devises constantes à titre de mesure additionnelle pour évaluer le rendement sous-jacent de chaque secteur d’exploitation, sans tenir compte des fluctuations des taux de change. Nous présentons toutes les variations en pourcentage du chiffre d’affaires net, du coût des produits vendus sous‑ jacent, des frais de commercialisation, généraux et d’administration sous-jacents et du bénéfice (de la perte) avant impôt sous-jacent en devises constantes, et nous calculons l’incidence des taux de change en convertissant les résultats en monnaie locale de la période considérée (qui tiennent également compte de l’incidence des activités de couverture du risque de change de la période antérieure correspondante) aux taux de change moyens pour la période respective de l’exercice qui sont utilisés pour convertir les états financiers de la période correspondante de l’exercice précédent. Le résultat obtenu correspond aux résultats en dollars américains de la période considérée, comme si les taux de change n’avaient pas varié par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. De plus, nous ne tenons pas compte, dans nos résultats en devises constantes de la période considérée, de l’incidence des transactions en devises hors exploitation, laquelle est comptabilisée au poste Autres produits/charges, montant net.

Nos indications relatives aux mesures présentées ci-dessus sont aussi des mesures financières non conformes aux PCGR qui excluent les éléments inhabituels figurant dans nos états financiers préparés selon les PCGR des États-Unis, ainsi que les autres éléments non liés aux activités de base tels qu’ils sont définis ci-dessus, ou ont été ajustées d’une autre façon pour en tenir compte. Lorsque nous fournissons des indications relatives aux diverses mesures non conformes aux PCGR présentées ci-dessus, nous ne sommes pas en mesure d’effectuer un rapprochement avec les mesures conformes aux PCGR des États-Unis sans effort exagéré, car nous ne pouvons pas prévoir avec un degré raisonnable de certitude l’incidence réelle des éléments inhabituels et des autres éléments non liés aux activités de base. Il est difficile de prévoir avec précision les éléments inhabituels et les autres éléments non liés aux activités de base en raison de leur nature, car ces éléments sont généralement associés à des événements inattendus et non planifiés qui se répercutent sur la Société et sur ses résultats financiers. Par conséquent, nous ne pouvons pas présenter un rapprochement de ces mesures sans effort exagéré.