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Pour l’ensemble de l’exercice, volume lié aux marques à l’échelle mondiale en baisse de 3,5 pour cent

Pour l’ensemble de l’exercice, chiffre d’affaires net en baisse de 1,8 pour cent sur la base du bénéfice déclaré, et de 0,6 pour cent en devises constantes

Pour l’ensemble de l’exercice, bénéfice net de 242 millions de dollars (1,11 $ par action), en baisse de 78,4 pour cent, et bénéfice par action sous-jacent (mesure non conforme aux PCGR) de 4,54 $, en baisse de 9,9 pour cent

Pour l’ensemble de l’exercice, BAIIA sous-jacent de 2,4 milliards de dollars, en baisse de 2,6 pour cent en devises constantes

Pour l’ensemble de l’exercice, flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation de 1,9 milliard de dollars et flux de trésorerie disponibles sous-jacents (mesure non conforme aux PCGR) de près de 1,4 milliard de dollars

La direction annonce qu’elle a excédé ses objectifs au chapitre des réductions de coûts et elle réitère son engagement envers l’atteinte des objectifs au chapitre de l’effet de levier négatif

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Pour le quatrième trimestre, volume lié aux marques à l’échelle mondiale en baisse de 1,0 pour cent

Pour le quatrième trimestre, chiffre d’affaires net en hausse de 2,8 pour cent sur la base du bénéfice déclaré, et de 3,0 pour cent en devises constantes

Pour le quatrième trimestre, bénéfice net de 164 millions de dollars (0,75 $ par action), en hausse de 115,4 pour cent, et bénéfice par action sous-jacent (mesure non conforme aux PCGR) de 1,02 $, en hausse de 21,4 pour cent

Pour le quatrième trimestre, BAIIA sous-jacent de 563 millions de dollars, en hausse de 15,8 pour cent en devises constantes

DENVER, Colorado, et MONTRÉAL, Québec – Le 12 février 2020 − Molson Coors entreprise de boissons (NYSE : TAP; TSX : TPX) a annoncé aujourd’hui ses résultats pour l’ensemble de l’exercice 2019 et pour le quatrième trimestre. M. Gavin Hattersley, président et chef de la direction de Molson Coors, a déclaré :

« L’exercice 2019 a dans l’ensemble posé des défis pour Molson Coors entreprise de boissons. Toutefois, malgré les conditions difficiles qui ont persisté et la baisse des volumes qui s’est poursuivie, nous avons enregistré une hausse du chiffre d’affaires net par hectolitre et amélioré la composition de nos ventes, nous avons affiché de solides flux de trésorerie disponibles et d’importantes réductions de coûts, nous avons réduit notre dette et nous avons commencé à réaliser des progrès relativement à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et à sa modernisation. »

M. Hattersley a ajouté : « Nous savons qu’il nous reste encore beaucoup de pain sur la planche. C’est pour cette raison que nous avons annoncé, au trimestre précédent, un plan visant à assurer une croissance constante du chiffre d’affaires de Molson Coors. Le plan a été conçu de manière à rationaliser la Société, à pouvoir agir plus rapidement et à libérer des ressources pour investir dans nos marques et dans nos capacités. Comme nous l’avons promis en octobre, nous avons mis ce plan en œuvre sans tarder. »

 
Principaux résultats consolidés pour l’ensemble de l’exercice (par rapport aux résultats de 2018)
  • Chiffre d’affaires net : 10,6 milliards de dollars, en baisse de 1,8 pour cent, et de 0,6 pour cent en devises constantes, résultats qui découlent de la baisse des volumes dans tous les secteurs, facteur neutralisé en partie par la croissance du chiffre d’affaires par hectolitre.
  • Chiffre d’affaires net par hectolitre : 114,10 $ sur la base du volume financier déclaré, en hausse de 2,4 pour cent. Le chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base du volume lié aux marques en devises constantes a augmenté de 2,9 pour cent, en raison essentiellement de l’établissement à l’échelle mondiale de prix nets positifs et d’une composition bénéficiant de l’attention que nous continuons de prêter à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure.
  • Volume : Volume lié aux marques à l’échelle mondiale de 88,9 millions d’hectolitres, en baisse de 3,5 pour cent, ce qui tient à la baisse des volumes enregistrée dans tous les secteurs d’exploitation découlant en partie de la conjoncture difficile dans l’industrie, particulièrement dans les secteurs États-Unis et Canada. Le volume financier s’est établi à 92,7 millions d’hectolitres, en baisse de 4,0 pour cent. Le volume lié aux marques prioritaires mondiales a diminué de 2,2 pour cent.
  • Coût des produits vendus par hectolitre : En hausse de 0,9 pour cent sur la base des résultats déclarés, en raison essentiellement de la hausse des coûts, de l’effet de levier négatif lié aux volumes et d’une composition défavorable, facteurs neutralisés en partie par la diminution des pertes latentes évaluées à la valeur de marché liées à nos positions sur les marchés des marchandises, ainsi que par les réductions de coûts et les fluctuations des taux de change.
  • Coût des produits vendus par hectolitre sous-jacent : en hausse de 4,9 pour cent en devises constantes, résultat qui tient principalement aux mêmes facteurs que ceux ayant influé sur les résultats selon les PCGR des États-Unis, à l’exception de l’incidence des variations des profits ou pertes latents liés à nos positions sur les marchés et des fluctuations des taux de change.
  • Bénéfice net attribuable à MCBC, selon les PCGR des États-Unis : En baisse de 78,4 pour cent, résultat qui est imputable en grande partie à l’incidence de la comptabilisation de pertes de valeur au titre du goodwill et des immobilisations incorporelles totalisant environ 692 millions de dollars, lesquelles touchent principalement notre unité d’exploitation du Canada. La diminution tient également à la baisse des volumes, à la hausse des coûts, aux charges de restructuration et aux coûts non récurrents au titre des régimes de retraite et des avantages postérieurs au départ à la retraite, facteurs neutralisés en partie par l’établissement à l’échelle mondiale de prix positifs, les réductions de coûts, la baisse de la rémunération incitative et une diminution des charges d’intérêts.
  • Bénéfice net sous-jacent : En baisse de 9,7 pour cent, en raison essentiellement des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur le bénéfice net selon les PCGR des États-Unis, à l’exception de l’incidence des pertes de valeur au titre du goodwill et des immobilisations incorporelles et des charges de restructuration, ainsi que de la hausse du taux d’imposition effectif sous-jacent par rapport à l’exercice précédent.
  • BAIIA sous-jacent : En baisse de 2,6 pour cent en devises constantes, en raison principalement des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur le bénéfice net sous-jacent, à l’exception de l’incidence des charges d’intérêts et de la charge d’impôt sur le résultat.
  • Flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, selon les PCGR des États-Unis : Les flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation se sont établis à environ 1,9 milliard de dollars pour l’ensemble de l’exercice 2019, en baisse de 434 millions de dollars par rapport à l’exercice précédent. Cette diminution tient principalement à la prise en compte du paiement en trésorerie de 328 millions de dollars reçu en janvier 2018 relativement à un ajustement du prix d’achat lié à notre acquisition des activités de Miller International, ainsi qu’à la diminution du bénéfice net ajusté pour tenir compte des montants sans effet sur la trésorerie réintégrés dans le bénéfice net et à la hausse des paiements d’impôt en trésorerie, facteurs neutralisés en partie par les variations favorables du fonds de roulement et la baisse des paiements d’intérêts.
  • Flux de trésorerie disponibles sous-jacents : Entrées de trésorerie de 1 369,8 millions de dollars pour l’ensemble de l’exercice 2019, résultat qui représente une diminution de 52,1 millions de dollars par rapport à l’exercice précédent; ce résultat tient principalement à la baisse du BAIIA sous-jacent et à la hausse des paiements d’impôt en trésorerie, facteurs neutralisés en partie par la réduction des dépenses d’investissement, les variations favorables du fonds de roulement et la baisse des paiements d’intérêts en trésorerie.
  • Dette : Le total de la dette à la fin de l’exercice 2019 s’élevait à 9,038 milliards de dollars, et la trésorerie et les équivalents de trésorerie totalisaient 523,4 millions de dollars, ce qui se traduit par une dette nette de 8,514 milliards de dollars.
Principaux résultats trimestriels (par rapport aux résultats du quatrième trimestre de 2018)
  • Chiffre d’affaires net : 2,5 milliards de dollars, en hausse de 2,8 pour cent, et de 3,0 pour cent en devises constantes, en raison de la croissance du chiffre d’affaires net par hectolitre et de l’augmentation du volume financier, y compris l’avantage prévu, dans le secteur États-Unis, de l’excédent de volumes de livraison sur les volumes liés aux marques, lequel tient au fait que les résultats au chapitre des volumes de livraison et des volumes liés aux marques pour l’ensemble de l’exercice ont convergé.
  • Chiffre d’affaires net par hectolitre : 114,22 $ sur la base du volume financier déclaré, en hausse de 1,8 pour cent. Le chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base du volume lié aux marques en devises constantes a augmenté de 1,1 pour cent, en raison de l’établissement à l’échelle mondiale de prix positifs et d’une composition favorable tenant à l’attention que nous continuons de prêter à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure.
  • Volume : Volume lié aux marques à l’échelle mondiale de 21,8 millions d’hectolitres, en baisse de 1,0 pour cent, résultat qui tient essentiellement à la baisse des volumes de bières à prix modiques dans le secteur États-Unis et à la performance à la baisse enregistrée dans le secteur Canada, facteurs neutralisés en partie par la croissance enregistrée dans le secteur International. Le volume financier s’est établi à 21,8 millions d’hectolitres, en hausse de 1,0 pour cent, résultat attribuable au moment auquel les distributeurs ont renouvelé leurs stocks au cours du trimestre dans le secteur États-Unis, ainsi qu’à la croissance enregistrée dans le secteur International, facteurs neutralisés en partie par la réduction des volumes dans les secteurs Canada et Europe. Le volume lié aux marques prioritaires mondiales s’est accru de 1,6 pour cent.
  • Coût des produits vendus par hectolitre : En baisse de 5,7 pour cent sur la base des résultats déclarés, en raison essentiellement des variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises, des réductions de coûts et des fluctuations des taux de change, facteurs neutralisés en partie par la hausse des coûts.
  • Coût des produits vendus par hectolitre sous-jacent : en hausse de 1,7 pour cent en devises constantes, résultat qui tient principalement à la hausse des coûts et à la composition, facteurs neutralisés en partie par les réductions de coûts. Cette hausse constitue une amélioration considérable par rapport aux trimestres précédents, en raison essentiellement de l’absorption des coûts fixes dans le secteur États-Unis, laquelle découle du moment auquel sont comptabilisés nos volumes financiers au cours du quatrième trimestre, ainsi que de la prise en compte de coûts non récurrents dans le secteur Canada.
  • Bénéfice net attribuable à MCBC, selon les PCGR des États-Unis : En hausse de 87,7 millions de dollars, résultat qui tient à la prise en compte du calendrier de livraison à l’exercice précédent, à l’établissement à l’échelle mondiale de prix positifs, aux réductions de coûts, ainsi qu’à un avantage non récurrent lié à un vendeur dans le secteur États-Unis et à la baisse de la charge au titre de la rémunération incitative en raison de départs prévus dans la foulée du plan de revitalisation, facteurs qui, pris dans leur ensemble, représentent environ 50 pour cent de la réduction des frais de commercialisation, généraux et d’administration, de même qu’au moment auquel les investissements au chapitre de la commercialisation ont eu lieu; ces facteurs ont été neutralisés en partie par les charges de restructuration et par des coûts non récurrents au titre des régimes de retraite et des avantages postérieurs au départ à la retraite.
  • Bénéfice net sous-jacent : En hausse de 21,5 pour cent, en raison des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur le bénéfice net selon les PCGR des États-Unis, à l’exception des charges de restructuration et des coûts non récurrents au titre des régimes de retraite et des avantages postérieurs au départ à la retraite.
  • BAIIA sous-jacent : En hausse de 15,8 pour cent en devises constantes, en raison essentiellement des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur le bénéfice net sous-jacent.
Principaux résultats trimestriels des secteurs d’exploitation (par rapport aux résultats du quatrième trimestre de 2018)

Secteur États-Unis

  • Produits : Le chiffre d’affaires net a augmenté de 4,7 pour cent, en raison de l’augmentation du volume financier et de la croissance du chiffre d’affaires net par hectolitre (sur la base du volume lié aux marques) de 1,6 pour cent tenant à l’établissement de prix nets plus élevés.
  • Volume : Le volume lié aux marques du secteur États-Unis a diminué de 1,7 pour cent, résultat qui reflète la baisse des volumes du secteur des bières à prix modiques; les tendances relatives à notre portefeuille de bières légères de marques de qualité supérieure et à notre portefeuille de bières de marques de spécialité se sont pour leur part améliorées. Le volume des ventes aux grossistes, compte non tenu des volumes liés aux ententes de brassage, a augmenté de 2,5 pour cent, en raison de la prise en compte de la baisse des volumes de livraison à l’exercice précédent découlant du moment auquel les distributeurs ont renouvelé leurs stocks au cours du trimestre, facteur neutralisé en partie par la diminution du volume lié aux marques. Pour l’ensemble de l’exercice, les résultats au chapitre du volume lié aux marques et des ventes aux grossistes ont en grande partie convergé.
  • Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 1,3 pour cent, résultat qui tient à la hausse des coûts, facteur neutralisé en partie par les réductions de coûts et l’absorption des coûts fixes liée à l’augmentation des volumes financiers.
  • Les frais de commercialisation, généraux et d’administration ont diminué de 6,8 pour cent, résultat qui tient essentiellement au fait que les investissements au chapitre de la commercialisation ont été effectués plus tôt au cours de l’exercice aux fins du lancement de diverses marques de qualité supérieure et des initiatives au chapitre de l’innovation, ainsi qu’à un avantage non récurrent lié à un vendeur.
  • Le bénéfice avant impôt du secteur États-Unis a augmenté de 18,3 pour cent par rapport à l’exercice précédent, en raison de l’augmentation des volumes financiers, de la réduction des frais de commercialisation, généraux et d’administration et de l’établissement de prix nets plus élevés, facteurs neutralisés en partie par la hausse des coûts et par les charges inhabituelles liées à la fermeture prévue de notre brasserie située à Irwindale, en Californie, ainsi que par les activités de restructuration.
  • Le BAIIA sous-jacent du secteur États-Unis a augmenté de 16,5 pour cent, en raison des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur les résultats selon les PCGR des États-Unis, à l’exception des charges inhabituelles.

Secteur Canada

  • Produits : Le chiffre d’affaires net a diminué de 4,6 pour cent, et de 4,8 pour cent en devises constantes, en raison principalement de la baisse des volumes et de la réduction du chiffre d’affaires net par hectolitre (sur la base du volume lié aux marques) de 0,7 pour cent en devises constantes, lesquelles sont essentiellement imputables à une composition défavorable, facteurs neutralisés en partie par l’établissement de prix nets positifs.
  • Volume : Le volume lié aux marques du secteur Canada a diminué de 6,9 pour cent et le volume financier a reculé de 4,0 pour cent au quatrième trimestre. La diminution du volume lié aux marques tient essentiellement à la performance à la baisse des marques et aux baisses enregistrées dans l’industrie; le volume financier a été touché de façon favorable par la prise en compte de la réduction des stocks des clients à l’exercice précédent.
  • Le coût des produits vendus par hectolitre a diminué de 1,4 pour cent en devises constantes, résultat essentiellement attribuable à la prise en compte de charges non récurrentes au titre de la radiation de stocks à l’exercice précédent ainsi qu’aux réductions de coûts, facteurs neutralisés en partie par l’effet de levier négatif lié aux volumes.
  • Les frais de commercialisation, généraux et d’administration se sont accrus de 0,9 pour cent en devises constantes, en raison principalement des coûts de démarrage liés à la coentreprise Truss, facteur neutralisé en partie par la diminution de la rémunération incitative.
  • Le secteur Canada a comptabilisé un bénéfice avant impôt de 4,6 millions de dollars, un résultat en baisse de 4,5 millions de dollars par rapport à l’exercice précédent qui tient principalement aux charges de restructuration, à l’incidence des baisses de volumes sur la marge brute et aux coûts de démarrage liés à la coentreprise Truss, facteurs neutralisés en partie par la prise en compte de charges non récurrentes au titre de la radiation de stocks à l’exercice précédent, les variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché comptabilisés relativement aux bons de souscription de HEXO, et la diminution de la rémunération incitative.
  • Le BAIIA sous-jacent du secteur Canada a diminué de 0,9 pour cent en devises constantes, ce qui tient principalement aux mêmes facteurs que ceux ayant influé sur les résultats selon les PCGR des États-Unis, à l’exception des charges de restructuration et des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché comptabilisés relativement aux bons de souscription de HEXO.

Secteur Europe

  • Produits : Le chiffre d’affaires net a augmenté de 1,1 pour cent, et de 2,1 pour cent en devises constantes, en raison de la croissance du chiffre d’affaires net par hectolitre (sur la base du volume lié aux marques) de 4,0 pour cent en devises constantes, laquelle s’explique par l’établissement de prix positifs et une composition favorable.
  • Volume : Le volume lié aux marques du secteur Europe a diminué de 0,4 pour cent et le volume financier, de 1,4 pour cent. La diminution des volumes liés aux marques est principalement imputable à la performance à la baisse des marques; notre portefeuille de marques de qualité supérieure a pour sa part affiché une forte croissance au quatrième trimestre, la croissance des volumes pour le trimestre s’étant avérée supérieure à celle enregistrée pour l’ensemble de l’exercice.
  • Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 4,7 pour cent en devises constantes, en raison principalement de la hausse des coûts.
  • Les frais de commercialisation, généraux et d’administration ont diminué de 10,7 pour cent en devises constantes, résultat attribuable essentiellement au fait que les investissements au chapitre de la commercialisation ont été effectués plus tôt au cours de l’exercice, ainsi qu’à la réduction de la charge au titre de la rémunération incitative.
  • Le bénéfice avant impôt du secteur Europe a augmenté de 62,1 pour cent par rapport à l’exercice précédent, résultat qui tient principalement à l’établissement de prix positifs et à une composition favorable, aux avantages inhabituels liés à la contrepartie reçue par suite de la résiliation d’ententes de distribution et de brassage et d’accords de coentreprise avec un partenaire dans l’un de nos marchés, qui ont en grande partie neutralisé les pertes de valeur connexes comptabilisées au troisième trimestre, ainsi qu’à la réduction des frais de commercialisation, généraux et d’administration, facteurs neutralisés en partie par la hausse des coûts, les charges de restructuration, la baisse du volume et les fluctuations défavorables des taux de change.
  • Le BAIIA sous-jacent du secteur Europe a augmenté de 18,0 pour cent en devises constantes, en raison des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur les résultats selon les PCGR des États-Unis, à l’exception des avantages inhabituels.

Secteur International

  • Produits : Le chiffre d’affaires net s’est accru de 7,5 pour cent sur la base du bénéfice déclaré et en devises constantes, en raison de la croissance du volume lié aux marques, facteur neutralisé en partie par la réduction de 5,3 pour cent du chiffre d’affaires net par hectolitre (sur la base du volume lié aux marques) en devises constantes, laquelle tient à la composition géographique.
  • Volume : Le volume lié aux marques du secteur International a augmenté de 13,9 pour cent, en raison de la solide performance de la Coors Light au Mexique, de la croissance continue enregistrée en Argentine et du moment auquel les ventes aux grossistes ont eu lieu, facteurs neutralisés en partie par les contraintes relatives à la chaîne d’approvisionnement et à la demande en Inde.
  • Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 6,2 pour cent en devises constantes, résultat qui s’explique par la hausse des coûts et la composition géographique.
  • Les frais de commercialisation, généraux et d’administration ont diminué de 0,5 pour cent en devises constantes.
  • Le secteur International a comptabilisé une perte avant impôt de 2,2 millions de dollars, comparativement à une perte de 6,7 millions de dollars à l’exercice précédent, en raison de l’accroissement des volumes, de la baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration et de la prise en compte de charges inhabituelles tenant à l’abandon de nos activités en Chine plus élevées à l’exercice précédent, facteurs neutralisés en partie par une composition géographique défavorable et les charges de restructuration.
  • Le BAIIA sous-jacent du secteur International s’est établi à 4,1 millions de dollars, en hausse de 50,0 pour cent en devises constantes, en raison des mêmes facteurs que ceux ayant influé sur les résultats selon les PCGR des États-Unis, à l’exception des charges inhabituelles.

Secteur corporatif

  • Le secteur corporatif a comptabilisé une perte avant impôt de 133,2 millions de dollars au quatrième trimestre, comparativement à une perte de 205,9 millions de dollars à l’exercice précédent, en raison principalement des variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises, de la diminution des charges d’intérêts nettes et de la réduction de la rémunération incitative, facteurs neutralisés en partie par des charges non récurrentes au titre des régimes de retraite et des avantages postérieurs au départ à la retraite.
  • Le BAIIA sous-jacent du secteur corporatif s’est amélioré de 0,5 million de dollars, résultat qui tient essentiellement à la réduction de la rémunération incitative et des dépenses au titre des projets.
Autres résultats

Mise à jour concernant les réductions de coûts

  • Nous avons réalisé des réductions de coûts d’environ 230 millions de dollars pour l’ensemble de l’exercice 2019, ce qui porte à environ 725 millions de dollars le total des réductions de coûts réalisées en vertu de notre programme pour les exercices 2017 à 2019. Le total de 725 millions de dollars des réductions de coûts réalisées au cours de ce programme triennal est supérieur à notre indication la plus récente de 700 millions de dollars et à notre objectif initial de 550 millions de dollars.
  • Le total des coûts non récurrents aux fins de l’établissement des synergies liées à la transaction s’est chiffré à environ 31 millions de dollars en 2019. Le total des coûts non récurrents dans le cadre du programme pour les exercices 2017 à 2019 s’est élevé à 208 millions de dollars; une tranche d’environ 70 pour cent de ces coûts se rapporte aux charges d’exploitation non liées aux activités de base, et une tranche de 30 pour cent se rapporte aux dépenses d’investissement. Le total des coûts dans le cadre du programme triennal est d’environ 20 millions de dollars inférieur à notre indication la plus récente de 230 millions de dollars, et d’environ 140 millions de dollars inférieur à nos attentes initiales de 350 millions de dollars.
  • Nous nous sommes engagés à continuer de réduire les coûts dans l’ensemble de la Société et nous évaluons régulièrement nos activités afin de déterminer d’autres occasions de réduire ces coûts. Notre programme triennal de réduction des coûts de prochaine génération, qui a été mis en œuvre en 2020, devrait se traduire par des réductions de coûts d’environ 600 millions de dollars jusqu’en 2022, et il porte principalement sur un grand nombre des fonctions visées par le programme pour les exercices 2017 à 2019. Les réductions de coûts comprennent un montant de 150 millions de dollars lié au plan de revitalisation.
  • Le total des coûts non récurrents aux fins de la concrétisation des réductions s’inscrivant dans le cadre du plan de revitalisation devrait se chiffrer approximativement entre 120 millions de dollars et 180 millions de dollars. Nous avons commencé à comptabiliser ces coûts au quatrième trimestre de 2019, et nous nous attendons à ce que les coûts restants soient engagés au cours des exercices 2020 et 2021.

Taux d’imposition effectifs

  • La Société a comptabilisé un taux d’imposition effectif de 19,6 pour cent au quatrième trimestre, en hausse par rapport à un taux d’imposition effectif négatif de 9,2 pour cent à l’exercice précédent, résultat qui tient principalement à la comptabilisation d’une économie d’impôt non récurrente au quatrième trimestre de 2018. La hausse de notre taux d’imposition effectif pour l’ensemble de l’exercice 2019 tient essentiellement à une perte de valeur de 668,3 millions de dollars au titre du goodwill non déductible de notre unité d’exploitation du Canada, ainsi qu’à la comptabilisation d’autres charges d’impôts non récurrentes au cours de 2019.
  • Le taux d’imposition effectif sous-jacent s’est établi à 22,5 pour cent au quatrième trimestre, en hausse par rapport à 13,7 pour cent à l’exercice précédent, en raison principalement de l’économie d’impôt non récurrente comptabilisée au quatrième trimestre de 2018 dont il est fait mention ci-dessus. La hausse du taux d’imposition effectif sous-jacent pour l’ensemble de l’exercice par rapport à l’exercice précédent tient en grande partie aux autres charges d’impôts non récurrentes comptabilisées en 2019 dont il est fait mention ci-dessus.

Éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base

Les éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base suivants ont été exclus des résultats sous-jacents. Se reporter à l’Annexe présentée dans la version anglaise de ce communiqué pour le rapprochement des mesures financières non conformes aux PCGR.

  • Au cours du quatrième trimestre de 2019, MCBC a comptabilisé une charge inhabituelle nette de 42,4 millions de dollars, qui tient essentiellement aux charges de restructuration liées à notre plan de revitalisation, ainsi qu’aux charges au titre de la mise hors service d’immobilisations se composant principalement de l’amortissement accéléré lié à la fermeture de brasseries, y compris la fermeture prévue de notre brasserie située à Irwindale, en Californie, qui a été annoncée récemment.
  • De plus, au cours du quatrième trimestre de 2019, nous avons comptabilisé des coûts nets de 39,9 millions de dollars au titre des autres éléments non liés aux activités de base, qui tiennent principalement aux charges non récurrentes au titre des régimes de retraite et des avantages postérieurs au départ à la retraite, aux charges liées à l’intégration et aux variations nettes des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés aux couvertures des marchandises et aux bons de souscription de HEXO.
Perspectives pour 2020

À l’heure actuelle, nous prévoyons ce qui suit pour l’ensemble de l’exercice 2020, que nous considérons être une année de transition :

  • Chiffre d’affaires net : résultat inchangé ou faible diminution à un chiffre en devises constantes.
  • BAIIA sous-jacent : diminution à un chiffre élevée par rapport au BAIIA sous-jacent de 2,364 milliards de dollars, en devises constantes, comptabilisé pour l’ensemble de l’exercice 2019.
  • Flux de trésorerie disponibles sous-jacents : 1,1 milliard de dollars, plus ou moins 10 pour cent.
  • Dépenses d’investissement : environ 700 millions de dollars, plus ou moins 10 pour cent.
  • Réductions de coûts : environ 600 millions de dollars en vertu du programme pour les exercices 2020 à 2022; ce montant comprend les réductions de coûts liées au plan de revitalisation.
  • Dotation aux amortissements sous-jacente : environ 850 millions de dollars.
  • Charge d’intérêts nette consolidée : environ 280 millions de dollars, plus ou moins 5 pour cent.
  • Taux d’imposition effectif sous-jacent dans la fourchette de 20 pour cent à 24 pour cent pour 2020 et par la suite, sous réserve des indications définitives supplémentaires et des règlements finaux du gouvernement des États-Unis concernant l’adoption de la réforme fiscale en 2017.
  • Réduction de l’effet de levier et dividende : Nous sommes déterminés à maintenir notre cote de crédit de première qualité, comme en témoigne la réduction continue de l’effet de levier. Par ailleurs, nous avons l’intention de maintenir un ratio de distribution cible se situant dans une fourchette de 20 pour cent à 25 pour cent du BAIIA sous-jacent de l’exercice précédent.
Notes

Sauf indication contraire dans ce communiqué, tous les montants sont libellés en dollars américains, et tous les résultats comparatifs sont ceux du quatrième trimestre et de l’ensemble de l’exercice terminés le 31 décembre 2019 par rapport à ceux du quatrième trimestre et de l’ensemble de l’exercice terminés le 31 décembre 2018. Certains chiffres pourraient ne pas correspondre aux totaux en raison de leur arrondissement.

Tel qu’il est utilisé dans ce communiqué, le terme « acquisition » a trait à l’acquisition par la Société, le 11 octobre 2016, de la participation de 58 pour cent de SABMiller plc, ainsi que de sa participation avec droit de vote de 50 pour cent, dans MillerCoors LLC et dans toutes les marques de commerce et tous les contrats et autres actifs principalement liés aux activités de Miller International à l’extérieur des États-Unis et de Porto Rico, auprès d’Anheuser-Busch InBev SA/NV.

Conférence téléphonique portant sur les résultats du quatrième trimestre de 2019

Molson Coors entreprise de boissons tiendra une conférence téléphonique à l’intention des analystes financiers et des investisseurs aujourd’hui à 11 h, heure de l’Est, afin de discuter de ses résultats du quatrième trimestre et de l’ensemble de l’exercice 2019. La diffusion Web sera accessible sur le site Web de la Société, à l’adresse www.molsoncoors.com. La rediffusion en ligne sera offerte jusqu’à 23 h 59, heure de l’Est, le 29 avril 2020. La Société affichera aujourd’hui le présent communiqué et les états financiers connexes sur son site Web.

RENSEIGNEMENTS :

Médias

Matthew Hargarten, 303-927-2443

Relations avec les investisseurs

Greg Tierney, 414-931-3303

À propos de Molson Coors

Depuis plus de deux siècles, Molson Coors brasse des bières qui unissent les gens, quel que soit le moment célébré. Peu importe qu’il s’agisse de la Coors Light, de la Miller Lite, de la Molson Canadian, de la Carling, de la Staropramen ou de la Coors Banquet, ou encore de la Blue Moon Belgian White, de la Saint Archer Gold, de la Leinenkugel’s Summer Shandy, de la Creemore Springs ou d’autres marques, Molson Coors produit certaines des marques de bières les plus aimées et les plus emblématiques jamais produites. Bien que l’histoire de la Société soit enracinée dans le brassage de bières, Molson Coors propose un portefeuille moderne de produits qui s’étend au-delà du marché brassicole et qui comprend notamment les cocktails mousseux, le café alcoolisé, le vin en canette, le kombucha et le cidre.

Au 31 décembre 2019, Molson Coors exerçait ses activités par l’entremise de Molson Coors Canada, de MillerCoors aux États-Unis, de Molson Coors Europe et de Molson Coors International. L’initiative Notre empreinte et nos objectifs pour 2025 en matière de durabilité reflètent l’engagement de la Société à améliorer les normes au sein de l’industrie et à laisser une empreinte positive pour ses employés, ses consommateurs, ses collectivités et l’environnement.

Avec prise d’effet en janvier 2020, la Société, qui se composait du siège social et de quatre unités opérationnelles, comporte maintenant deux unités opérationnelles, soit Amérique du Nord et Europe. Cette restructuration donnant lieu à la mise en place de deux unités opérationnelles et les changements apportés à la présentation de l’information qui en découleront ne seront pas pris en compte avant la publication de nos résultats du premier trimestre de 2020. En janvier 2020, nous avons également modifié notre raison sociale pour Molson Coors entreprise de boissons (auparavant, Molson Coors Brewing Company) afin de mieux refléter notre objectif stratégique, lequel vise à élargir nos activités au-delà du marché de la bière et à miser sur d’autres occasions de croissance connexes dans l’industrie des boissons. Pour de plus amples renseignements sur Molson Coors entreprise de boissons, visitez le site Web de la Société à l’adresse molsoncoors.com ou ourbeerprint.com, ou encore à l’adresse @MolsonCoors sur Twitter.

À propos de Molson Coors Canada Inc.

Molson Coors Canada Inc. (« MCCI ») est une filiale de Molson Coors entreprise de boissons. Les actions échangeables de catégorie A et de catégorie B de MCCI sont assorties en grande partie des mêmes droits économiques et de vote que les catégories d’actions ordinaires respectives de MCBC, comme il est décrit dans la circulaire de sollicitation de procurations annuelle de MCBC et dans le rapport sur formulaire 10-K déposés auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis. Le porteur fiduciaire de l’action spéciale comportant droit de vote de catégorie A et de l’action spéciale comportant droit de vote de catégorie B a le droit d’exprimer un nombre de voix correspondant au nombre d’actions échangeables de catégorie A et d’actions échangeables de catégorie B alors en circulation, respectivement.

Déclarations prospectives

Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » au sens des lois fédérales sur les valeurs mobilières aux États-Unis. En règle générale, des termes comme « croire », « prévoir », « avoir l’intention de », « estimer », « s’attendre à », « projeter », « perspectives » et autres expressions similaires, ainsi que l’utilisation du futur, désignent des déclarations prospectives qui n’ont habituellement pas de portée historique. Les déclarations qui ont trait aux projections visant notre performance financière future, notre croissance prévue, les réductions de coûts et les tendances liées à nos activités, ainsi que les autres descriptions se rapportant à des événements ou circonstances futurs constituent des déclarations prospectives et comprennent, sans s’y limiter, les déclarations présentées à la rubrique « Perspectives pour 2020 », les attentes relatives aux dividendes qui seront versés dans le futur, les tendances générales concernant les volumes, les préférences des consommateurs, les tendances en matière de prix, les forces de l’industrie, nos stratégies de réduction des coûts, y compris le plan de revitalisation que nous avons annoncé en 2019 de même que la fourchette estimative des charges connexes et le moment auquel les charges en trésorerie seront comptabilisées, les résultats prévus, les attentes concernant le financement de nos dépenses d’investissement et de nos activités futures, les capacités en matière de service de la dette, le montant et l’échelonnement de la dette et les niveaux de levier financier, les volumes de livraison et la rentabilité, la part de marché et l’adéquation des sources de financement. Bien que la Société soit d’avis que les hypothèses sur lesquelles ces déclarations prospectives sont fondées sont raisonnables, elle ne peut garantir d’aucune façon leur exactitude. Certains facteurs importants qui pourraient faire en sorte que les résultats réels de la Société diffèrent de façon significative de l’expérience historique et des prévisions et attentes de la Société sont présentés dans les documents de la Société déposés auprès de la Securities and Exchange Commission (la « SEC »). Ces facteurs comprennent notamment l’incidence de l’intensification de la concurrence découlant des regroupements de brasseries; la concurrence au chapitre des prix et les pressions sur les prix; la santé de l’industrie brassicole et de nos marques dans nos marchés; la conjoncture économique dans nos marchés; les pertes de valeur additionnelles; notre capacité à assurer le maintien des ententes conclues avec les fabricants et les distributeurs; les modifications apportées à notre chaîne d’approvisionnement; la disponibilité des matériaux d’emballage ou la hausse du coût de ces matériaux; la réussite de nos coentreprises; les risques liés à nos activités dans les marchés en développement et les marchés émergents; les modifications apportées aux exigences prévues par la loi et par les règlements, y compris la réglementation des systèmes de distribution; les fluctuations des taux de change; la hausse du coût des marchandises que nous utilisons dans le cadre de nos activités; l’incidence des changements climatiques ainsi que la disponibilité et la qualité de l’eau; la perte ou la fermeture d’une brasserie principale ou d’une autre installation clé; notre capacité à mettre en œuvre nos initiatives stratégiques, y compris la mise en œuvre et la réalisation des réductions de coûts; notre capacité à intégrer avec succès les entreprises nouvellement acquises; notre capacité de réaliser les économies d’impôt, l’accroissement des résultats ainsi que les réductions et les synergies de coûts prévus liés à notre acquisition de MillerCoors; les coûts liés aux régimes de retraite et aux avantages complémentaires de retraite; le non-respect des clauses restrictives ou la détérioration de nos notations de crédit; notre capacité à maintenir de bonnes relations de travail; notre capacité à maintenir l’image de nos marques, notre réputation et la qualité de nos produits; les autres risques dont il est fait état dans nos documents déposés auprès de la SEC, y compris notre plus récent rapport annuel sur formulaire 10-K et nos rapports trimestriels sur formulaire 10-Q. Toutes les déclarations prospectives que contient le présent communiqué de presse sont présentées expressément sous réserve des présentes mises en garde et par renvoi aux hypothèses sous-jacentes. Le lecteur ne doit pas se fier indûment aux déclarations prospectives, qui ne valent que pour la date à laquelle elles sont faites. La Société ne s’engage pas à publier une mise à jour des déclarations prospectives, que ce soit par suite d’informations nouvelles ou d’événements subséquents, ou autrement.

ANNEXE
Volume lié aux marques à l’échelle mondiale et volume financier

Le volume lié aux marques à l’échelle mondiale (ou le « volume lié aux marques » lorsqu’il est question d’un secteur) reflète uniquement les marques détenues par la Société qui sont vendues à des clients externes non liés dans nos marchés géographiques (déduction faite des retours et rabais), le volume lié aux redevances et notre quote-part du volume lié aux marques à l’échelle mondiale mis en équivalence, lequel est calculé en fonction du volume lié aux marques détenues par MCBC. Le volume lié aux ententes de brassage et aux grossistes est pris en compte dans le volume financier, mais il est exclu du volume lié aux marques à l’échelle mondiale, car il représente un volume lié aux marques non détenues relativement auquel nous n’exerçons pas un contrôle direct sur la performance. Notre définition du volume lié aux marques à l’échelle mondiale reflète également un ajustement afin de tenir compte du volume des ventes aux détaillants, plutôt que du volume des ventes aux grossistes. Nous sommes d’avis que la mesure du volume lié aux marques est importante puisque, contrairement au volume financier et aux ventes aux grossistes, elle fournit la meilleure indication de la performance de nos marques par rapport aux tendances au chapitre des ventes dans le marché et des ventes effectuées par la concurrence.

Utilisation de mesures non conformes aux PCGR

Outre les mesures financières présentées conformément aux principes comptables généralement reconnus des États-Unis (les « PCGR des États-Unis »), nous présentons des résultats en devises constantes, le coût des produits vendus sous- jacent et le coût des produits vendus par hectolitre sous-jacent (coût des produits vendus sous-jacent divisé par le volume financier déclaré), le bénéfice avant impôt sous-jacent et le bénéfice net sous-jacent, le bénéfice sous-jacent par action après dilution, le taux d’imposition effectif sous-jacent et les flux de trésorerie disponibles sous-jacents, qui sont des mesures non conformes aux PCGR et qui devraient être considérés comme des suppléments à nos résultats d’exploitation présentés selon les PCGR des États-Unis (et non comme des mesures de remplacement de ceux-ci). Nous présentons également le bénéfice avant intérêts, impôt et amortissements sous-jacent (le « BAIIA sous-jacent ») comme une mesure non conforme aux PCGR. Notre direction utilise le bénéfice sous-jacent, le bénéfice sous-jacent par action après dilution, le BAIIA sous-jacent et le taux d’imposition effectif sous-jacent comme des mesures permettant d’évaluer la performance d’exploitation, et les flux de trésorerie disponibles sous-jacents comme une mesure permettant d’évaluer les flux de trésorerie générés par nos activités de base, et ainsi de ramener sur une base plus comparable les résultats financiers d’une période à l’autre; comme des mesures pour la planification et les prévisions générales ainsi que pour l’évaluation des résultats réels par rapport aux prévisions; dans les communications avec le conseil d’administration, les actionnaires, les analystes ainsi que les investisseurs au sujet de notre performance financière; comme des mesures de comparaison utiles par rapport à la performance de nos concurrents; comme des mesures aux fins de certains calculs de la rémunération incitative de la direction. Nous croyons que la performance au chapitre du bénéfice sous-jacent, du bénéfice sous-jacent par action après dilution, du BAIIA sous-jacent et du taux d’imposition effectif sous-jacent est utile pour les investisseurs et qu’elle est utilisée par ceux-ci ainsi que par d’autres utilisateurs de nos états financiers dans l’évaluation de notre performance d’exploitation, et que la performance au chapitre des flux de trésorerie disponibles sous-jacents est utilisée dans l’évaluation des flux de trésorerie générés par nos activités de base, car elles fournissent un outil additionnel pour évaluer notre performance compte non tenu des éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de base, qui peuvent varier considérablement d’une entreprise à l’autre selon les méthodes comptables utilisées, les valeurs comptables des actifs et la structure des capitaux. Outre les raisons dont il est fait mention précédemment, nous considérons que les flux de trésorerie disponibles sous-jacents constituent une mesure importante de notre capacité à générer des flux de trésorerie, à accroître nos activités et à accroître la valeur pour les actionnaires, laquelle est stimulée par nos activités de base, compte tenu des ajustements relatifs aux éléments non liés aux activités de base. De plus, les résultats en devises constantes excluent l’incidence des fluctuations des taux de change. Pour une analyse de notre situation de trésorerie, se reporter aux tableaux consolidés des flux de trésorerie et à la rubrique sur la situation de trésorerie et les sources de financement figurant dans l’Analyse par la direction de la situation financière et des résultats d’exploitation comprise dans nos plus récents rapports sur formulaire 10-K et sur formulaire 10-Q déposés auprès de la SEC.

Nous avons fourni des rapprochements de toutes les mesures historiques non conformes aux PCGR et des mesures les plus pertinentes des PCGR des États-Unis, et nous avons appliqué systématiquement les ajustements à nos rapprochements afin de déterminer chaque mesure non conforme aux PCGR. Ces ajustements concernent les éléments inhabituels figurant dans nos états financiers préparés selon les PCGR des États-Unis, ainsi que les autres éléments non liés aux activités de base, tels que les coûts liés à l’intégration, les profits et pertes évalués à la valeur de marché latents, ainsi que les profits et pertes découlant de la vente d’actifs hors exploitation, qui sont compris dans nos résultats selon les PCGR des États-Unis et qui doivent faire l’objet d’ajustements aux fins du calcul des résultats non calculés selon les PCGR. Nous considérons que ces ajustements sont nécessaires pour évaluer notre rendement continu, et ces ajustements sont dans bien des cas considérés comme non récurrents. Ces ajustements sont subjectifs, et la direction fait preuve d’un jugement important à leur égard.

Notre indication concernant la dotation aux amortissements sous-jacente, les flux de trésorerie disponibles sous-jacents et le taux d’imposition effectif sous-jacent constituent également des mesures financières non conformes aux PCGR qui excluent les éléments inhabituels présentés dans nos états financiers préparés selon les PCGR des États-Unis, ou qui ont autrement été ajustées afin de tenir compte de ces éléments, ainsi que d’autres éléments non liés aux activités de base, tels que les coûts liés à l’intégration, les profits et pertes évalués à la valeur de marché latents, ainsi que les profits et pertes découlant de la vente d’actifs hors exploitation, qui sont compris dans nos résultats selon les PCGR des États-Unis et qui doivent faire l’objet d’ajustements aux fins de l’établissement des résultats non calculés selon les PCGR. Nous considérons que ces ajustements sont nécessaires pour évaluer notre rendement continu, et ces ajustements sont dans bien des cas considérés comme non récurrents. Ces ajustements sont subjectifs, et la direction fait preuve d’un jugement important à leur égard. Nous ne sommes pas en mesure d’effectuer un rapprochement des mesures décrites précédemment et des mesures les plus pertinentes des PCGR des États-Unis sans effort exagéré, car nous ne pouvons pas prévoir avec un degré raisonnable de certitude l’incidence réelle des éléments inhabituels et des autres éléments non liés aux activités de base. Il est difficile de prévoir avec précision les éléments inhabituels et les autres éléments non liés aux activités de base en raison de leur nature, car ces éléments sont généralement associés à des événements inattendus et non planifiés qui se répercutent sur la Société et sur ses résultats financiers. Par conséquent, nous ne pouvons pas présenter un rapprochement de ces mesures.

Les devises constantes sont une mesure non conforme aux PCGR qu’utilise la direction de Molson Coors pour évaluer le rendement, compte non tenu de l’incidence des fluctuations des taux de change, et elles visent à être représentatives des résultats en monnaie locale. Étant donné que nous exerçons nos activités dans divers pays étrangers dont la monnaie locale peut s’apprécier ou se déprécier considérablement par rapport au dollar américain ou aux autres devises liées à nos activités d’exploitation, nous utilisons des devises constantes à titre de mesure additionnelle pour évaluer le rendement sous-jacent de chaque secteur d’exploitation, sans tenir compte des fluctuations des taux de change. Cette information n’est pas conforme aux PCGR et elle doit être considérée comme un supplément à nos résultats d’exploitation présentés en vertu des PCGR des États-Unis (et non comme une mesure de remplacement de ceux-ci). Nous calculons l’incidence des taux de change sur le chiffre d’affaires net, sur le bénéfice avant impôt, sur le BAIIA sous-jacent non calculé selon les PCGR et sur le bénéfice sous-jacent avant impôt non calculé selon les PCGR, comme suit :

  • Nous multiplions les résultats d’exploitation en monnaie locale de la période considérée (qui tiennent également compte de l’incidence des activités de couverture du risque de change de la période antérieure correspondante) par les taux de change moyens pondérés utilisés pour convertir les états financiers de la période correspondante de l’exercice précédent. Le résultat obtenu correspond aux résultats d’exploitation en dollars américains de la période considérée, comme si les taux de change n’avaient pas varié par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent.
  • Nous soustrayons le résultat obtenu à l’étape 1 des résultats d’exploitation en dollars américains non ajustés présentés de la période considérée (mesure conforme aux PCGR des États-Unis). Cet écart reflète l’incidence des profits/pertes découlant de la conversion des devises pris en compte dans les résultats de la période considérée.
  • Nous déterminons le montant des profits/pertes de change hors exploitation réels découlant des activités de couverture et des transactions effectuées dans une devise autre que la monnaie fonctionnelle de chaque entité juridique.
  • Nous additionnons les résultats des calculs effectués aux étapes 2 et 3 ci-dessus. La somme obtenue correspond à l’incidence totale des profits/pertes découlant de la conversion des devises et des profits/pertes réalisés sur les transactions en devises. Le résultat obtenu correspond à la valeur illustrée dans la colonne « Foreign Exchange $ Impact » des tableaux de la version anglaise de ce communiqué.